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Gravitation GZéro - Orbes Lagrangiens - Orbites circulaires

La gravitation est-elle Une réalité de la Nature ?

La Gravitation est une réalité qui s’exprime au sein de la Nature. Seulement, cette réalité n’est pas appréhendée par les théories enseignées. Elle n’est pas appréhendée par les lois de la gravitation universelle de Newton. Elle n’est pas appréhendée par les approches relativistes de Einstein. 

La Gravitation n’est pas source d’elle-même. Elle n’est pas une force indépendante qui se baladerait, sur des distances infinies, dans les méandres de l’Espace-temps. La gravitation est un rayonnement émis par tout objet de masse positive. Qu’est-ce qui caractérise un objet de masse positive ?

Un objet de masse positive se caractérise par la possession intrinsèque d’une dynamique fondée sur deux types de mouvements. Un premier mouvement (rotation, spinaire, angulaire) un second mouvement (translation, fuite, radial). La nomenclature des objets de masse positive est la suivante : les étoiles, les planètes, les molécules de l’atmosphère terrestre et plus généralement planétaire.

Un objet de masse négative se définit, à contrario, par le fait de disposer d’une masse de champ nul négative est la suivante : les astéroïdes, les comètes, les êtres vivants …

La gravité est une forme de rayonnement dont la source est la masse de l’objet. C’est une radiation qui exclue, une force qui éloigne. Ce qui est acquis par les simulations de Erudite Life c’est que cette force a une portée limitée, un horizon directement proportionnel à la masse de l’objet considéré. L’horizon du champ d’évitement ou horizon Hg, d’une planète quelconque, d’une étoile quelconque, d’une molécule quelconque, est obtenu par la relation M=G. Les calculs seront présentés en conférence et en cours.

Comme le montre cette vidéo, dans l'Univers, les objets ne tombent pas. Ils "flottent" Ils sont en apesanteur. Ils sont en "lévitation".

Il est plus exact de dire que ces objets « circulent ». Les trajectoires de ces objets dépendent de leur catégorie. Ainsi, les objets de masse positive ont des trajectoires circulaires, des orbites circulaires. Les objets de masse négative ont des trajectoires linéaires, en ligne droite, ce qui donne l’impression qu’ils tombent.

Le champ de gravitation de la Terre, comme de tous les astres, se diffuse en permanence, s'exprime en permanence sous forme d'ondes électromagnétiques.

Les ingénieurs de génie qui ont conçu les outils qui permettent de mesurer des ondes figées comme les empreintes thermiques (le fond diffus cosmologique), sont parfaitement capables de mettre au point des outils de mesure de recenser ces empreintes spécifiques identifiées  par calculs à partir d’équations de la relation M=E=G=D=T. Ce travail de mesure devrait se faire autour de la Terre, mais aussi autour du Soleil. Ce devrait être la meilleure façon de confirmer, par des données expérimentales, cette nouvelle théorie.

En fait que doit-on mesurer ?

Une forme de rayonnement a été depuis longtemps identifiée autour de la Terre et plus généralement autour des astres. Ce rayonnement a été défini comme champ vectoriel, champ magnétique, qui aurait pour origine du fer liquide formant le noyau liquide. Sauf que ce noyau est gazeux et contient une part infime de fer. Et même s’il était constitué uniquement de fer, il ne produirait pas de champ électromagnétique car la température de curie du fer est de 770°K.  Effectivement, la température du noyau est très supérieure à cette valeur, ce qui annihile la propriété d’aimantation du Fer. On peut donc facilement conclure que le rayonnement émis par la Terre est un champ de type scalaire, c’est son champ de gravitation. C’est un champ dont on doit chercher à établir la valeur numérique et l’unité. Généralement, nous l’avons vu pour ce qu’il s’agit du fond diffus (des cosmoglyphes), la Nature s’exprime en °K. Pourquoi ne pas explorer cette piste ? Ce que nous avons d’acquis c’est que ce champ est associé à la masse M et qu’il a une portée limitée, un horizon Hg, en mètres, qui est bridée par cette masse M.

Autre mesure de la distance – Soleil – Terre. Le clea, un département du CEA a, en 2004, expérimentalement, mesuré la distance Terre-Soleil. 

L'équipe CEA/clea a trouvé : 152,8 millions de km - 152 800 000 000 mètres.

Ce résultat m’a permis de valider 2 modèles : le modèle orbite GZERO de la gravitation, ci dessus, et le modèle matriciel de l’Espace-Temps. Effectivement, avec les données géométriques associées aux cosmoglyphes de la Terre et du Soleil, j’ai pu déterminer qu’au moment de son émergence, la Terre était située exactement à 152 733 228 467 mètres du Soleil. Cela veut dire que, depuis, la Terre s’est éloignée du Soleil de 87 505 590 mètres. Ainsi la Terre s’éloigne du Soleil à raison de 1 cm/an. Cela valide la proposition de l’évolution des objets par augmentation d’intensité du champ de gravitation, donc par accrétions de masse et de taille.

La formule de la gravitation Newton ne permet pas de calculer la distance r en connaissant les masses m1 et m2. Et ce, même en faisant appel aux méthodes de résolutions numériques avec matlab.

En posant simplement r = racine(r²) et appliquant les valeurs de m1 (Soleil) et m2 (Terre) utilisées pour le calcul orbite GZERO, on obtient : 902 193 528 471 185 000 000 000 mètres. Ces résultats contribuent à disqualifier l’approche Newtonienne des Forces de Gravitation F1 et F2.

Distribution orbitale

Dans un système d’étoile, les planètes sont alignées de telle sorte que les moins massives sont plus proches et les autres suivent par importance de masses. L’éloignement est directement proportionnel à la masse.

Gravitation : les modèles d'Einstein et de Newton - Orbites : le modèle de Kepler

Modèle Einsteinien : des astres qui déambulent sur la surface d'un Univers baudruche.

Cela ne correspond pas à la réalité d’un Univers, lieu volumique, au sein duquel les objets flottent. Sans compter que dans cette représentation, faire voyager des sondes spatiales poserait des problèmes de navigation qui ne seraient pas techniquement surmontables.

Les lois de la physique vérifiées stipulent que deux objets de champs de même nature se repoussent.

Les énoncés du tableau ci-contre contribuent au discrédit de la proposition relativiste.

Personne, à ce jour, n'est parvenu à résoudre les équations relativistes

En principe, les équations d’un modèle sont élaborées de telle sorte qu’elles reproduisent les réalités observées. L’innocuité de ces équations confirme l’irrecevabilité de la représentation relativiste du monde.

Image de la dynamique newtonienne.

D’après cette image les deux objets se tiennent, comme enchaînées, l’une à l’autre. Ce qui n’est pas le cas. En effet, ces deux objets sont totalement libres, en apesanteur. Ils circulent  sur des orbes lagrangiens. Ces deux objet de charges positives s’esquivent. C’est ainsi que la Lune s’éloigne de la Terre  à raison de 3,8 cm par an. C’est le cas de la Terre qui s’éloigne du Soleil. C’est le cas des lunes de Jupiter, de Saturne, Neptune. En fait, les objets circulent sur des orbes lagrangiens, sur des rails de non gravité. En fait les objets s’éloignent à mesure que l’attraction de l’un des deux augmentent plus que celle de l’autre et cette augmentation est liée à l’accrétion de masse. Cela veut dire que les objets évoluent par accroissement de masse.

Les lois de Kepler

Les lois de Kepler prédisent des orbites elliptiques avec aphélie et périhélie. Dans la réalité observée, toutes les orbites sont circulaires.

Les orbites sont ciruclaires pourquoi ?

Parce que les objets circulent sur des aires de non-gravité. Ne subissant aucune force, elles ne peuvent pas opérer des ellipses.

Les lois de Kepler

Les lois de Kepler ne décrivent pas les réalités observées. Mais elles ont le mérite des lois de Newton qui on posé la problématique de la gravitation. Elles ont posé la problématique des mouvements orbitaux.

La réalité des mouvements orbitaux.

Ce sont des mouvements libres sur des orbes lagrangiens.

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